Je vous conseille de consulter l’étude récente de l’université du Michigan sur les publicités tendancieuses destinées aux applications mobiles pour enfants.

Les points évoqués sur les publicités tendancieuses

Au départ, l’étude porte sur 135 applications pour enfants. Parmi ces applications, on peut compter 96 applis téléchargées dans la catégorie des « 5 ans et moins ».

Ces publicités sont répertoriées parmi les annonces déguisées, inappropriées, pernicieuses voire tendancieuses. En outre, 88% des applications payantes et la totalité des applications gratuites intègrent de la publicité.

Le premier point soulevé traite de publicités inadaptées à la catégorie d’âge du jeune public. En outre, le second point porte sur des annonces publicitaires qui mènent les enfants à l’achat.

Retrouvez ces points en consultant ce sujet.

Les réactions du Play Store de Google

En fait, les points soulevés par les scientifiques de cette étude sont multiples. En parallèle, on parle de publicités camouflées.

Les publicités camouflées se déclenchent au moment où l’enfant est amené à effectuer le visionnage d’une annonce sans l’avoir voulu. Parfois, on assiste à des paroles émanant d’un personnage de l’appli qui pousse le junior à cliquer sur des publicités.

Pour sa part, le porte-parole de Google signale que les applications du Play Store sont dans l’obligation de participer à leurs programmes « Designed for Families ». Dans l’absolu, ce programme fournit aux développeurs des restrictions en matière de publicité et de contenu.

Les réserves des scientifiques de l’étude

Selon les chercheurs participant à cette étude, des applications du magasin Google ne jouent pas le jeu en termes de publicité et de protection de la vie privée.

En effet, des annonceurs publicitaires profitent sans scrupule de la vulnérabilité des jeunes enfants. Par ailleurs, l’exposition de jeunes enfants à des dessins animés et des médias incluant des publicités incorporées sont des facteurs d’influence.

Sans le vouloir, ces jeunes enfants adoptent une préférence pour certaines marques.

Quelques modes opératoires spécifiques

Quelques méthodes s’attèlent à proposer des pop ups aux enfants de moins de 5 ans. Or, ces pop ups sont souvent impossibles à fermer pour le jeune public.

Par ailleurs, certaines applications contiennent des publicités qui priment l’enfant qui visionne une annonce sans limitation de durée. En réalité, les chercheurs estiment que ces initiatives malheureuses poussent l’enfant à acheter des bonus payants.

Si l’enfant ne cède pas à la demande, le personnage virtuel de l’application tendancieuse se met à pleurer sans retenue. Retrouvez la totalité de cet article en contactant cette adresse.

 

Crédit Photo : bayard-jeunesse.com & cetaitcommentavant.fr

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